Touchante histoire … mais dure à vivre …
Peur dans le monde, peur dans les grandes villes, Marseille,
Lyon, Lilles, la tourmente infernale arrive……. Est vous savez qui est ce
mal, mais personne n’ose le désigner ! La vermine verte islamiste !
Droite, Gauche, Mr M
Valls et Mr H Désir, Mme Taubira, distillent un programme d’intox à
Marseille en colmatant les brèches d’une haine qui s’amplifie de jour en jour.
La société malade se développe autour de ces
quartiers « dit sensibles », montre à quel point l’intégration ne
répond plus aux annonces des différents gouvernements, de Gauche comme de
Droite.
Les réseaux islamistes explosent en Europe avec
l’exportation et l’importation de la violence de la guerre. Qui aura le courage
ou pas de combattre ces foyers d’infections connus qui sont le cœur de ce
fléau, aux cœurs de nos cités, attribué par défaut aux jeunes des banlieues par
les ténors de cette politique pourrie !
Les violences urbaines deviennent une arme contre
notre société, ils vont se former dans les camps Pakistanais, Afghans, et j’en
passe. Ils n’ont pas fait de service militaire, mais ils apprennent vite les
rudiments de l’embuscade aux seins des banlieues afin de dissuader la
police d’y établir sa loi. 3 synonymes, excusez du peu pour définir une
manœuvre qui consiste à attaquer son ennemi par surprise. Trois termes sont
employés suivant les circonstances de cette manœuvre. Le guet-apens, le piège,
le traquenard.
Le ministre
de l’intérieur fait feu de tous bois, mais le ver est dans le fruit. Pour
réduire au silence ces zones de non droit,
l’infiltration du système doit
être portée à son maximum. Hélas, la suppression des effectifs sur le terrain
et la faiblesse de notre système, ne nous le permet plus de tenir le terrain. Nous
sommes au bord du trou et du chaos.
Il faut intensifier la traque par le renseignement
et impliquer la population à défendre leur souveraineté de citoyens, au sein de
comités de surveillance
A l’automne
2005 la première alerte retentit aux
limites des frontières des banlieues des grandes villes de France. D’autre
retentiront, j’en suis certain au vu de
la tournure des évènements sociaux qui se profilent.
Les violences urbaines sont un risque, tant
par leur longueur que par leur ampleur territoriale. Les répliques sur l’économie
et la médiatisation politique résonnent même au niveau national et même
mondial.
Les petits affrontements de commune à commune durent moins de 5 jours, par exemple ceux de
Vénissieux en 1981.
J'avoue que je n'aimerais pas être
aujourd'hui au gouvernement. Ni d'ailleurs habiter Villiers-le-Bel. Ni moins
encore être CRS. Je crains en effet que les nuits d'émeutes de
Clichy-sous-Bois, il y a deux ans, ne soient que le hors - d'œuvre de ce que
nous allons déguster dans les temps prochains.
Je
crois qu'il va falloir quand même appeler un chat un chat. Qu'on incendie deux
écoles, des bibliothèques, des commissariats, des garages et quelques autres
bâtiments dont la liste est déjà oubliée par nos amis de l’intérieur, cela fait
désordre. Oui passons pour les statistiques pour eux c’est 100 voitures, pour
les pompiers 300 à 400 véhicules par semaine.
Comment peut-on brûler tant de voiture
sans que cela n’inquiète personne au sommet de l’état. Maintenant nous y sommes habitués. C'est devenu presque une routine,
même un défouloir que les politiques esquissent du bout des lèvres.
En revanche, la seconde nuit de
Villiers-le-Bel marque une escalade dont les médias et le gouvernement ne
voudront sans doute pas faire la publicité, mais qui risque d'être le point de
départ d'une nouvelle étape. Grace à l’ouverture des frontières, sans contrôle,
les armes de guerre sont au top des tops.
A
vrai dire, la surprise n'est pas que les émeutiers commencent à les sortir,
mais d'une part qu'ils ne l'aient pas fait auparavant (à part un essai passé
presque sous silence il y a deux ans). Car les banlieues sont armées depuis
longtemps par les pays de l’est et les filières des musulmans du Kosovo.
Toutes ces belles armes de guerre armes sont cachées les
caches en banlieue. La police pour les trouver devra utiliser l’armée avec un bouclage hermétique pour en
venir à bout. Quand aux protections de dotation
de nos forces, elles seront obsolètes.
Nos jeunes amis de banlieues, sont pour
certains des anciens des camps du jihad islamiste, autant dire que la situation
est explosive dans tous les sens du terme. Ils sont de nouveau combattant
opposés au pouvoir en place. Il semble que, d'émeute en émeute, les techniques
se durcissent, les méthodes se professionnalisent et que les policiers et gendarmes
devront très prochainement affronter, si ce n'est déjà le cas, des experts en
guérilla urbaine qui n'auront aucun scrupule à faire usage de leurs armes
contre les forces de l'ordre.
Avec les conséquences qu'hélas on imagine. Si
l’intervention de l’armée est décidée par le gouvernement, les forces
politiques seront dans une situation de déchirement entre elles. Ce sera
l’explosion tant attendu par les mouvances islamistes et des différents
extrêmes, qui contrôlent de plus en plus les troupes de leurs nouvelles mosquées
au nez et à la barbe du renseignement. Infiltrer un réseau islamiste n’est pas
une mince affaire, mais un piège à haut risque pour celui qui se fait
prendre….C’est la décapitation…Avant, l’il aura connu la souffrance des fous de
Dieu.
Que vont faire les pouvoirs publics ?
Vont-ils noyer les banlieues en
injectant argent et moyen couteux?
Aujourd'hui, les trafics en tous genres
fleurissent sous le nez de policiers et des juges consternés, qui comptent les
coups et relèvent les morts après les règlements de comptes.
Marseille est une ville orpheline de ses
parrains d’antan, redevient une zone
interdite à la main de ces nouveaux trafiquants issus des milieux islamistes,
Marseille est appelé Alger par ces habitants du Maghreb.
Qui Dans le passé, la police était même invitée
par ces parrains respectueux de l’ordre républicain….Ils y a un baille !!!
Certes, il faudra impitoyablement
châtier, si on les arrête, les auteurs de ces événements. Mais la répression ne
résout rien à long terme. Si l’intégration ne les a pas modifiés génétiquement,
alors il faudra leur laisser le champ libre et quitter les territoires de ses
nouvelles bandes armées qui montent en puissance.
La Gauche et la Droite doivent cesser de
rêver sur les diapositives mis en place et dont l’échec et visible. La
police de proximité n'est pas non plus la panacée avec des jeunes à peine
formés. Car on ne greffe pas une police communautaire sur une société à ce
point malade et éclatée, dont ses membres sont en rébellion ouverte avec la
société.
La police est un moyen, pas une
solution. Les éducateurs ne seront pas plus utiles : on ne guérit pas le
cancer avec un placebo. Arroser les caïds avec des subventions pour acheter la
paix armée sera peut-être la voie choisie : elle ne nous donnerait qu'un
court répit. Reste-t-il une autre solution ? Dieu seul le sait. Il doit
rapidement se motiver et revoir sa copie notre président, lui ancien des
services du ministère de l’intérieur.