samedi 27 septembre 2014

La géométrie variable de nos politique de 1962 à 2014

En juillet 1962, les Français étaient en vacances et l'Algérie ne les préoccupaient guère de ces  les populations qui quittaient leurs maisons et les morts à leur destin.Quel destin, depuis cette date l'Algérie ne se relève pas et ne se relèvera pas. C'est triste à dire, mais cette population n'a jamais compris que l'islamisme les tuerait à petit feu. Alors la France continue à être stigmatisée et vous pensez vous que l'histoire à changée?Les moines de thibérine égorgés en Algérie ou étaient les drapeaux en berne????Mers el Kébir, le cimetière des 1300 marins de 1940, profané en 1990,2005, et le grand , silence de nos politiques, continuez de fermer les yeux .................
Ce meurtre sauvage d’Hervé GOURDEL, enlevé en Kabylie, résonne plus particulièrement à nos oreilles aujourd’hui, journée commémorative des Harkis, ces musulmans ayant naguère choisi la France. 

L’émotion suscitée depuis hier par cet acte abject permet sûrement à nos compatriotes d’entrevoir les souffrances qui furent celles des Français d’Algérie. Massacres planifiés, viols de masse et tortures épouvantables infligées par le FLN à des dizaines de milliers de Harkis : la barbarie islamiste n’est pas nouvelle.Ce terrible drame humain, cette tâche sur le drapeau français, ne suscita guère à l’époque la colère et la compassion. Un véritable crime contre l’humanité qui fut aussi le fait de l’attitude indigne du pouvoir politique de l’époque.Loin de vouloir sans cesse ressasser le passé, le parallèle évoqué est criant de réalité. 

Les indignations à géométrie variable ne pourront pas éternellement dissimuler qu’à ne jamais retenir les leçons du passé, nos gouvernants condamnent les peuples à revivre toujours les mêmes drames.

vendredi 26 septembre 2014

LES GUERRIERS DE L’APOCALYPSE , vous devez combattre ces barbares... ou ils vous mangerons tout cru....


C’est  faire tord aux agneaux
Que de chérir les loups

Saadi, Poète arabe converti

Il y a une loi de la vie des civilisations et elle est immuable : Lorsque les peuples s’abandonnent, ils sont conquis par une force vitale extérieure, celle qui manque à leurs cœurs amollis et à leurs intelligences perverties. La démocratie meurt de la mort des lâches.

DonGarcia Blasquez de Aguilas

 LES GUERRIERS DE L’APOCALYPSE

« Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui également en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée »(XXe chant de l’Apocalypse)

Les guerres sectaires aidant, les terroristes islamiques se sont scindés pour former plusieurs courants, les uns plus terrifiants que les autres que nous pouvons à loisir observer en Palestine, au Mali, en Syrie, au Nigéria et en Irak, entre autres, où un nouveau groupe terroriste qui sème la terreur a vu le jour : L’EIIL, (État islamique en Irak et au Levant)… qui s’appelle désormais l’EI dès lors  que ses visées hégémoniques se sont démultipliées.
Ces différentes factions terroristes qui ont en commun la haine de l’Occident, sont (par la grâce de ces mêmes « occidentaux honnis »), puissamment armés dès lors que les armes livrées par les USA, la France et l’Angleterre aux opposants à Bachar el Assad, en Syrie, sont passées pratiquement aux mains des djihadistes de l’EI. Elles proviennent aussi des arsenaux libyens qu’à la demande de Bernard Henry Levy (BHL) -l’éminence grise de Nicolas Sarkozy- et sur l’ordre de ce dernier, l’aviation française a « mis à jour  à ciel ouvert », ce qui représente un volume d’armements considérable…
            Les armes sont également les blindés, les tanks et l’armement lourd pris à l’armée irakienne en déroute… de quoi équiper abondamment des régiments de djihadistes…
Dans son allocution audio diffusée du 29 juin 2014, premier jour du mois de Ramadan, destinée aux musulmans du monde entier, le cheikh Abou Mohammed al-Adnani, porte-parole de l’EIIL (ou Daash),  a annoncé le rétablissement du califat sous le nom d’Etat islamique (EI) et la désignation d’Abou Bakr al-Baghdadi  comme calife, c’est-à-dire chef de la communauté musulmane au plan mondial.Celui qu’on surnomme désormais « L’Attila du Levant », se réserve le titre de successeur au prophète Mahomet, une distinction abolie le 29 octobre 1923 par Kamal Atatürk, fondateur de la Turquie moderne.
Dans son discours, il annonce que son organisation portera désormais le nom d’État islamique (EI), sans aucune limite géographique, et ce, afin de marquer ses ambitions de s’étendre au monde entier, au-delà des frontières. 
 Et ce nouveau calife use d’un argument de poids : La charia (loi islamique) qu’il applique dans toute sa rigueur, sans le moindre état d’âmeDésormais le chef, c’est lui ! C’est à lui que les musulmans du monde entier doivent obéissance, car il incarne la « légitimité islamique », la seule, l’unique, celle qui transcende les appartenances nationales et culturelles, celle qui a pour raison d’être et de fondre tous les musulmans dans la oumma (communauté des Musulmans), en attendant d’assujettir toute l’humanité à Allah.
Fin juillet 2014, dans une déclaration publiée sur un compte Twitter affilié à l’organisation terroriste, « Attila » a affirmé au peuple palestinien que « ce n’est qu’une question de temps » avant que ses djihadistes n’arrivent en Israël pour se joindre à la lutte contre les « Juifs barbares »…
Cet EI, groupe terroriste sunnite, prône une version extrême de l'Islam. Sur fond de tensions, il tente de répandre son influence comme une traînée de poudre au Proche-Orient, déstabilisant toute la région et semant la mort sur son passage, notamment celle des Chrétiens et des Kurdes. Il dispose de moyens financiers considérables. L’argent provient de plusieurs pays du Golfe (adeptes d’une hypocrite « neutralité ») ainsi que des coffres de diverses banques, comme celui de la succursale de la Banque Centrale Irakienne pillé à Mossoul en juin 2014, avec un butin de 425 millions de dollars. Son « financement » passe aussi par le commerce de pétrole avec la production de plusieurs raffineries comme celles de Tikrīt et Baiji ainsi que par le pillage d’antiquités vendues au prix fort en Occident par des réseaux mafieux. L'EI serait déjà à la tête d'un trésor de guerre de 1 à 2 milliards de dollars. Par ailleurs, fort de ses 10 à 15 000 combattants fanatisés à l’extrême, prêts à mourir dans la voie d'Allah, sa domination sur le terrain s’intensifie inexorablement. Il contrôle désormais environ 25% de la Syrie (45.000 km2) et 40% de l’Irak (170.000 km2), soit au total 215.000 km… l’équivalent du Royaume-Uni (237.000 km2).
La « destruction d’Israël » demeurant l’une de ses priorités, sa réalisation passe obligatoirement par la conquête totale de la Syrie, ce qui lui assurerait le contrôle permanent du Plateau du Golan, position stratégique située à la frontière nord de l’état hébreu. C’est la raison pour laquelle de violents combats opposent régulièrement le groupe djihadiste syrien du Front Al-Nousra (filiale de l’EI) aux troupes de Bachar el-Assad.
Le 28 août 2014, après de lourds combats, ce groupe a pris le contrôle du poste frontière de Quneitra, à quelques centaines de mètres d’Israël, occupé jusqu’alors par le régime syrien, faisant par là même prisonniers 45 Casques bleus Fidjiens… transformés désormais en otages, d’où un regain de tension dans la région et une surveillance accrue de Tsahal qui a relevé son niveau d’alerte et déployé des renforts. « Nous n’intervenons pas, nous observons simplement »  a dit un officier israélien au Jerusalem Post.

Selon l’agence iranienne Fars, du 21 juin 2014, confirmé par le quotidien arabophone tunisien Attounissia, du 4 août 2014, le Qatar (notre sublime ami !a recruté 5000 mercenaires originaires d’Afrique du Nord pour les envoyer en Irak et en Libye combattre aux côtés de l’EI. Cela signifie qu’après avoir activement contribué à l’embrasement de la Syrie et de l’Irak, le Qatar veut déplacer le feu de la guerre civile et de la barbarie en Libye, c’est-à-dire, inévitablement, en Tunisie et en Algérie.

Cette tragico-comédie mise en scène par l’EI et jouée par un acteur dont la folie n’a d’égal que la cruauté, a inspiré un autre illuminé,Aboubakar Shekau, leader du groupe terroriste nigérian, Boko Haram, qui, assoiffé de conquête tend à prendre pied au Cameroun, a annoncé que la ville de Gwoza dont il s’est rendu maître, a été placée sous le règne du Califat Islamique. « Nous sommes venus pour rester. Ils appellent ce pays, le Nigéria. Nous sommes dans le Califat Islamique. Nous n’avons rien à faire avec le Nigeria », a-t-il précisé. Nous voilà donc désormais avec deux califats autoproclamés qui ne peuvent s’attirer la moindre réprobation du monde Musulman, puisqu’ils viennent de ressusciter une institution fondamentale de l’Islam.

Quant au Hamas, qui a prit par la force le contrôle de Gaza en éliminant son principal opposant, le  Fatah, lors d’un coup d’Etat en 2007, il n’a pas hésité pour assurer sa « souveraineté » à exécuter –en place publique- par centaines, les membres de la Force 17 du Fatah créé par Yasser Arafat. Par ailleurs, ce qui fait actuellement la force de ce groupe terroriste, c’est son alliance avec les « Frères Musulmans » en Egypte, le Qatar (notre ami !) et la Turquie. Sans leur soutien, le Hamas se serait effondré avec le régime des « Frères Musulmans » en Egypte l’été dernier. Il se trouve que tous considèrent la guerre du Hamas contre Israël comme un moyen de remettre au pouvoir les « Frères Musulmans » en Egypte. Ils n’ont, par conséquent d’autre solution, que celle d’aider financièrement et militairement ce groupe terroriste, sachant par ailleurs, combien il en coûte aux médias occidentaux de dénoncer la répression sanglante qu’il exerce contre sa population, l’utilisation cynique des civils réduits à être des boucliers humains et les tirs de roquettes à partir des hôpitaux des mosquées et des écoles…
Dans un de ses récents numéros (volume 41, n° 4), le Journal of Palestinian Studies, publié par l’Institut des Etudes Palestiniennes (IEP), indique qu’au moins 160 enfants palestiniens qui travaillaient dans des conditions proches de l’esclavage sont morts dans la construction des fameux tunnels du Hamas, à Gaza. Et l’auteur de conclure de la sorte son reportage : « Comme dans l’Angleterre victorienne qui utilisait des enfants pour creuser des mines, le Hamas profite de la petite taille des enfants pour creuser ses tunnels »…

Cette guerre révolutionnaire que les dhihadistes mènent actuellement contre les pays islamiques a pour conséquence funeste de « tranquilliser » le monde occidental, voir, de l’anesthésier. En effet, le bruit de la mitraille, les cris de douleur et de détresse des populations victimes de la barbarie ne parviennent que parcimonieusement jusqu’à lui et il s’en détourne pudiquement s’imaginant n’être ni concerné, ni menacé car, bien loin des théâtres d’opérations… Quelle grossière erreur que cette réaction primaire simpliste !

Combattre l’Occident et le détruire, parvenir jusqu’à Rome et Paris, implique en premier lieu le renversement en terre musulmane des gouvernements ayant des relations avec l’impérialisme et de leur remplacement par un ordre intégralement islamique. Cela seul servira de point de départ à la guerre au-dehors. En clair, la guerre avec l’ennemi prochain (états arabes nouant des relations avec le monde occidental) est plus importante –pour l’instant- que la guerre avec l’ennemi éloigné (l’Occident).

Pour s’en convaincre, il n’est que se reporter aux extraits de l’opuscule de Muhammad Abd Al-Sâlam Farag : « L’obligation manquante » (1981) dont voici quelques lignes :

-          L’instauration de l’Etat islamique est une obligation et si l’Etat ne peut être instauré que par la guerre, celle-ci est pour nous undevoir

-          Les gouvernements actuels des musulmans sont en état d’apostasie puisqu’ils se sont nourris à la table de l’impérialisme, celui des Croisés ou celui des communistes ou celui des sionistes…

-          Le moyen d’instaurer l’Etat islamique, c’est l’exode dans un autre pays, l’établissement de l’Etat islamique dans ce pays là en vue du retour au pays en vainqueurs et le soutien donné au groupe des émigrés.

-          Aujourd’hui, le champ de bataille, c’est la Ville sainte, Jérusalem, qu’il faut libérer, chose hautement sacrée.

On comprend mieux désormais pourquoi les intégristes islamiques accordent leur priorité d’action à l’épuration interne des gouvernants arabes soupçonnés de condescendance avec les pays occidentaux.

Dans cet univers de violence et de haine, les « fous d’Allah », « guerriers de l’apocalypse », s’enhardissent chaque jour un peu plus, dopés qu’ils sont par la passivité de l’Occident. La décapitation des journalistes américains James Foley et Steven Sotloff en est une preuve suffisante et un défi supplémentaire lancé à la « Grande Amérique ».
Et voilà, sous nos yeux, les barbares qui frappent aux frontières, les peuples loups qui grondent aux lisières des bois… Pressés de courir à leur tour la grande aventure de la civilisation et exaltés par la présomptueuse conviction qu’ils détiennent des recettes miraculeuses, ils négligent les trésors de l’héritage. Ils veulent tout détruire, tout raser pour tout recommencer sur les décombres d’un passé qu’ils haïssent parce qu’ils ne le comprennent pas. Et ils tentent d’imposer leur loi par l’assassinat et la terreur à des sociétés qui ont su dissiper ces cauchemars depuis si longtemps qu’elles n’en imaginent plus l’éventuel retour. Voilà qu’enchaînées par les règles qu’elles ont accumulées pour se prémunir contre les excès de leur propre colère, les sociétés stupéfaites s’abandonnent aux coups que leur portent des colères inconnues. Et voilà que s’écroule la civilisation parce que les barbares puisent dans son raffinement, ses complications et son indulgence, la seule force qui rend leurs débordements irrésistibles. Ils retrouvent naturellement le plaisir d’égorger sachant combien timide sera la répression. Jamais les passions déchaînées n’ont fait autant de ravages, semé autant de morts… Jamais on n’a assassiné autant d’hommes au nom du bonheur de l’humanité… Jamais le mot de Malaparte n’a été plus juste : « Jamais on n’a couché autant de Christs dans les charniers du monde ! » Et nous, pauvres occidentaux, timorés, craintifs et désunis (l’intervention esseulée de la France au Mali en est une preuve suffisante), sommes en passe de perdre cette ultime guerre qui nous est imposée parce qu’irrémédiablement condamnés à capituler au nom de la défense de la civilisation qui n’est autre qu’un suicide devant un assaut qui en nie l’essentiel.

 

                                                                                         José CASTANO
                                                                 Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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Congrès VERITAS

Samedi 21 septembre 2014, dès 14h, salle Roger Ferrière, Esplanade du Levant (à proximité de la Mairie) – 06700 SAINT-LAURENT-DU-VAR
Entrée libre - Contacts : 06.99.55.28.79 – 06.76.13.12.76 – 06.16.58.40.99 –

Le programme vous sera adressé sur simple demande
                          
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Conférences sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO au Foyer rural (face au 12, rue Notre Dame) de LASSERRE DE PROUILLE (11270) – D623 – Dimanche 12 octobre à 16 heures (initialement prévue le 5 octobre).
Entrée libre.
Contact : JJ Saragosa – Tel. 09 79 22 73 16 ou 06 18 20 44 84 –
Courriel : jjsara@wanadoo.fr

mercredi 24 septembre 2014

Mr Hollande,réactive les commandos de chasse et les mercenaires pour nettoyer ces barbares sanguinaires

Combat contre les islamistes en Afrique et dans le monde
Commando de chasse intégrant le renseignement choc
Les mercenaires
Les unités opérationnelles de renseignement des troupes de choc durant la guerre d'Algérie, sont à l’origine de l’anéantissement Les grandes unités fellaghas.
 La situation de ces groupes armés islamistes, arabes, de nationalité algérienne, naviguent dans un milieu hostile, difficilement accessible à une armée de métier conventionnelle. Ces hommes utilisent la zone centrale entre l’Algérie, Niger, Mali, Mauritanie, Tunisie, Lybie.
 Le principal point d’appui de ces groupes se trouve dans les contreforts des massifs algériens. Pour lutter contre ces groupes, l’utilisation des commandos de chasse sous la même forme que celui de la guerre d’Algérie. Il est nécessaire de les combattre sur leur terrain, dans le milieu ou ils évoluent.
 Le Général Challe avait compris le fonctionnement des groupes Nord vietnamiens. Il créa  ces commandos, afin de réduire au plus vite les actions de harcèlement de nos  troupes  conventionnelles. Il faut revenir aux fondamentaux, le commando est un renard en chasse permanente.
Il ne doit pas avoir de base arrière, mais une assistance de tous les instants sur le terrain par les moyens moderne que nous avons. La traque de ces islamistes doit être permanente. Le gouvernement Français  se doit de mettre en œuvre une activité dans ce domaine. La transaction basée sur les rançons doit cesser.
 Le fait de parlementer avec des chefs terroristes met à mal notre politique face à ces barbares d’un autre âge. Nous devons donner aux unités des pays africains, les mêmes formes d’intervention, afin de mettre la pression sur les zones ou naviguent ces rebelles.
 Bien sûr, ces alliés se doivent de fonctionner dans la même logique, qui définie un commando de chasse. Le commando de chasse gardera les règles de bases, la recherche du renseignement, nettoyage du terrain, destruction des habitats et caches rebelles, pas de prisonnier. Rendre à la nature ce que les hommes lui ont pris.
Avec cette formule acquise en Indochine et en Algérie, elle reste la meilleure forme de combat, pour venir à bout de ces groupes islamiques.
L’utilisation des forces aériennes tactiques dans ces zones désertique est une erreur face a des professionnels de la contre bande sur ces terrains. Le risque c’est la bavure sur ce genre d’intervention. Ils n’attendent que cela en plaçant des boucliers humains, des sacrifiés au non de Dieu.
Terrorisme & Islamisme… Les deux mamelles de la terreur

« Du fanatisme à la barbarie, il n’y a qu’un pas » (Denis Diderot)

Etymologiquement, le terrorisme est une méthode d’action violente utilisée par une minorité d’exaltés qui visent à engendrer « la terreur », c’est-à-dire à créer un climat d’insécurité, de peur, d’effroi et d’épouvante au sein d’une population, exercer un chantage sur un gouvernement ou satisfaire une haine à l’égard d’une communauté… Sa caractéristique est de permettre par des moyens simples (attentats divers, prises d’otages…) et imprévisibles, de mettre en échec les forces militaires et de police les plus sophistiquées qui se trouvent, soudainement, dans l’incapacité de répondre coup pour coup à un adversaire sans visage qui se dérobe, agissant dans le secret absolu et reniant sans le moindre scrupule les valeurs supérieures de la civilisation : Le respect de la vie humaine.
Ainsi, qu’ils soient intégristes, fanatiques religieux ou anarchistes, les terroristes prêchent le viol de la société, et, par conséquent, ils ne sauraient être traités comme des adversaires réguliers. Car vouloir donner aux choses le sens de ses désirs est la pire forme de dérèglements de l’esprit. Ainsi s’est exprimé Bossuet dans une de ses prédictions au souffle lyrique de ses visions grandioses.
Des milliers de tueurs dangereux, rompus aux méthodes de l’assassinat, sont aujourd’hui disséminés un peu partout dans le monde, véritables bombes à retardement prêtes à exploser sans avertissement. Ces ennemis de la liberté et de la démocratie assimilent l’Occident –plus particulièrement, l’Europe- à un champ de bataille et nous avons l’obligation de les pourchasser sans trêve et les éradiquer où qu’ils se trouvent. Il s’agit, ici, de « légitime défense ».
En France, nous ne sommes plus, désormais, confrontés à des combattants venus de « l’extérieur », mais à des milliers de jeunes volontaires nationaux (formés –ou dans l’attente de l’être- au djihad en Afghanistan, en Syrie et en Irak) immergés dans une nébuleuse salafiste qui contrôle désormais une grande partie de nos cités. Ils ne correspondent absolument pas au profil établi par nos services, puisqu'ils s'intègrent parfaitement dans notre société. Pas de barbes, pas de discours suspect, pas de prosélytisme… Rien ne les différencie du citoyen lambda Ce sont les mêmes qui ont commis les attentats de Londres. Ce sont des jeunes Nigérians présents depuis longtemps dans la société anglaise qui ont massacré au hachoir un soldat britannique à Londres en 2013. A Boston, ce sont deux frères d'origine tchétchène, installés depuis longtemps aux USA qui ont posé les bombes du marathon. Chez nous, Khaled Kelkal, Mohamed Merah, Mehdi Nemmouche présentaient des profils proches. Mal intégrés, shootés à l'islamisme, ils ont trouvé dans une exaltation identitaire une raison d'être autant qu'une raison de tuer.
En mai 2014, Europol (European Police Office), l’office de police criminelle intergouvernemental qui facilite l'échange de renseignements entre polices nationales en matière de stupéfiants, de terrorisme, de criminalité internationale et de pédophilie au sein de l’Union européenne, a publié son rapport annuel sur le terrorisme en Europe dans lequel il est clairement établi que « La France est au premier rang des pays exposés au risque terroriste en Europe. » On y apprend notamment « qu’entre 2009 et 2013, le nombre d’arrestations d’activistes islamistes a doublé en Europe. Par ailleurs, c’est en France qu’a été recensé le plus grand nombre d’activistes islamistes et que le nombre de musulmans venus de France pour le djihad en Syrie a augmenté de 75% en quelques mois ». Et le rapport de conclure :
« La France concentre 66% des terroristes musulmans d’Europe »
            Dans son discours du 29 juin 2014, Abou Bakr al-Baghdadi, surnommé « L’Attila du Levant », chef de l’Etat islamique (EIqui s’est autoproclamé calife, c’est-à-dire chef de la communauté musulmane au plan mondial, ne cache pas son ambition de voir, un jour, la France rejoindre la oumma, c'est-à-dire, la « communauté des croyants ». Et il y a des signes qui ne trompent pas… Lors des récentes manifestations pro-palestiniennes contre Israël, on a vu pour la première fois apparaître l’étendard noir de l’EI sur lequel est inscrit en blanc : « Il n’y a de Dieu qu’Allah et Mohammed est son messager ». C’est une image forte que les islamistes ont projeté à la face du monde, faisant savoir, en toute impunité, que l’islamisation de la France est en marche.
Ainsi, le caractère d’extrême gravité que revêt le terrorisme international a fait de la France l’une de ses plaques tournantes et nous met dans l’obligation de réagir avec fermeté contre tous ceux qui tentent de faire de notre pays un « champ de tir » du terrorisme, son refuge ou son « laboratoire d’expériences » révolutionnaires. La fermeté et la riposte immédiate sont les seuls moyens d’éviter de s’enliser dans la peur (ou la passivité) comme c’est le cas aujourd’hui.
            Cependant, notre juridiction actuelle est mal adaptée à l’action répressive que la société doit exercer contre les criminels qui mettent en cause sa légitimité. Devant pareil danger, la réaction doit non seulement s’adapter à l’adversaire en retournant contre les terroristes le conseil de Lénine : « Ne laissez jamais se constituer de Vendée », mais conduire aussi à une prise de conscience populaire. A la stratégie de déstabilisation des terroristes, la Nation doit répondre par une « stratégie de répulsion ». Cette stratégie implique en premier lieu le contrôle étroit des communautés étrangères dans le pays, afin de prévenir le prolongement sur notre territoire de luttes extérieures, partant : se protéger d’un terrorisme par « vases communiquant » ou par osmose.
Les zones de « non-droit » (désertées par les forces de police) sont à remettre au pas, par la force légale et par le droit. En clair : Il faut rétablir l’Etat de droit dans les cités où le salafisme, qui est la nature de l’Islam, progresse inexorablement et dont l’objet final avoué est de conquérir, non seulement la France, mais l’ensemble du monde libre.
Par ailleurs, il faut :
 Mettre fin à la double nationalité pour les ressortissants non européens (Pour mémoire, Merah et Nemmouche cumulaient tous deux, nationalités française et algérienne).
- Stopper l’immigration-invasion extra-européenne et abolir le « regroupement familial ».
- Supprimer l’acquisition automatique de la nationalité française par le droit du sol.
- Durcir les conditions d’octroi de visas pour les ressortissants des pays pourvoyeurs de terroristes.
- Expulser les prédicateurs du djihad qui déversent leur fiel antisémite et antichrétien dans les mosquées et sur les sites internet.
En outre, l’intangibilité des  frontières  doit  être  remise  en  question,  dès  lors  qu’elle  apporte  plus d’inconvénients que d’avantages.
            Le 9 juillet 2014, le ministre de l’Intérieur a présenté en conseil des ministres, un projet de loi prévoyant la création d’une interdiction administrative de sortie du territoire français pour six mois, concernant certains ressortissants, majeurs ou mineurs, afin d'éviter qu'ils n'aillent se radicaliser sur des théâtres d'opérations extérieurs puis représentent une menace à leur retour.
Le 18 septembre, les députés ont, par conséquent, voté l’interdiction de sortie du territoire, assortie d’une confiscation du passeport et de la carte d’identité pour toute personne soupçonnée de vouloir partir mener le djihad.
Quelle avancée spectaculaire dans la lutte contre le terrorisme !...  Ce sont nos policiers qui doivent être contents !...
            Quelle aberration que ce projet de loi !... Quel grotesque effet d’annonce !
           Si nos « jeunes » veulent quitter la France pour « faire le dhihad en Syrie ou ailleurs », mais qu’ils partent !... Et qu’on les laisse partir, bon sang ! Sachant qu’ils passent systématiquement de la délinquance au djihad, plus ils seront nombreux à s’exiler de la sorte, moins nous compterons de voyous dans nos cités, plus nous serons tranquilles… et moins il en reviendra probablement… Par ailleurs, les frontières n’existant plus, rien de plus facile pour eux que de prendre leur véhicule et de rouler jusqu’en Turquie. Là, les filières les prendront en charge…
            Il fut un temps où l’on faisait tout pour empêcher les terroristes de s’implanter sur notre territoire ; aujourd’hui, on fait tout pour les empêcher de le quitter… C’est complètement délirant !
      Selon le quotidien algérien EL WATAN du 28 janvier 2014, Al Qaîda et (surtout) l’EI entraîneraient des centaines de « jeunes » issus des pays européens en Syrie et on estime à près d’un millier le nombre de jeunes français séjournant dans ce pays.
Dans Le Journal de Dimanche du 14 septembre 2014, Bernard Cazeneuve a déclaré : « 930 citoyens français ou résidents français sont impliqués dans le jihad en Irak et en Syrie » ajoutant : « 350 sont sur le terrain, y compris 60 femmes. Environ 180 ont quitté la Syrie et 170 sont en route vers la région. »
De plus, près de 230 musulmans français parmi eux se dirigent vers la région tenue par les islamistes. Et l’on estime qu’environ 36 d’entre eux y sont déjà morts, a précisé le Ministre.
Ceci étant, ce qui importe désormais, ce n’est pas tant que ces « jeunes » « partent »… mais, surtout, - sachant qu’ils auront été particulièrement formés pour commettre des attentats en France- « qu’ils ne reviennent pas !  et le projet de loi aurait dû, prévoir d’interdirele retour des djihadistes sur le territoire national avec déchéance automatique de la nationalité française et de supprimer les versements des prestations sociales et familiales aux familles des enfants mineurs partis faire le djihad du sexe et de la terreur en Syrie et ailleurs. Voilà une avancée majeure dans la lutte contre le terrorisme qui aurait satisfait l’ensemble des citoyens français !
            Il est probable que nous n’arriverons jamais à réduire totalement les actions criminelles mais il serait possible d’en limiter leur nombre par le rétablissement et la mise en application immédiate de la peine de mort envers les terroristes reconnus coupables d’avoir sacrifié des victimes innocentes. Dans la conjoncture actuelle, à quoi sert l’internement de ces assassins alors que l’on sait qu’ils seront libérés tôt ou tard après que d’autres terroristes, mettant en péril la vie de centaines d’otages innocents, réclameront à coup d’exécutions sommaires ou de rançons faramineuses (toujours payées) la libération de ces détenus ?
            Par ailleurs, nous savons bien que des forces spéciales de l’armée française sont à l’œuvre au Mali, en Centre-Afrique, dans le sud de la Libye et au nord de l’Irak (majoritairement chrétien) pour y démanteler les camps d'entrainement djihadistes et stopper leur avancée. Leur objectif est précis : Eradiquer les terroristes de l’Etat Islamique. En clair : Les tuer ! Dans ce cas, si on peut les tuer « là-bas », pourquoi s’abstient-on de le faire sur le sol national alors que la situation est préoccupante ? Quant au « politiquement correct », à la « bien-pensance », aux « moralistes à la conscience pure » qui seraient choqués par mes propos, je rappelle que Saint Thomas d’Aquin légitimait, sous certaines conditions, le tyrannicide en ces termes : « Nul n’a la droit d’ôter la vie à quiconque sauf au tyran ! » Il considérait la sédition (terrorisme/guerre civile) comme péché contre les effets de la charité (c’est-à-dire la paix) et justifiait que tuer un tyran n'était pas séditieux, que cette action pouvait être donc un acte de charité envers la multitude. Et Napoléon Bonaparte de légitimer également ce tyrannicide en ces termes : « Celui qui lutte pour la survie de sa nation ne transgresse aucun droit ».
Lors d'une interview, il fut demandé au Général Schwartzkopf, commandant en chef  de la coalition de l'opération « Desert Storm » (Tempête du désert) en Irak :
 « Le pardon est-il envisageable pour ceux qui ont aidé les terroristes ayant perpétré l'attaque contre les États-Unis le 11 septembre 2001 ? »
 Sa réponse :
 « Je crois que c'est le rôle de Dieu de leur pardonner… Notre boulot, c'est d'organiser la rencontre ! ». On ne peut être plus clair !...
            Tandis que les prises d’otages se multiplient à travers le monde (particulièrement en Afrique), les citoyens russes demeurent les moins « prisés » par les terroristes. La raison en est simple. Dans les années 1980, un Russe a été capturé au Liban. Les services soviétiques ont alors enlevé l’un des proches des preneurs d’otages, l’ont découpé en morceaux et les ont expédiés au Hezbollah dans plusieurs valises… Depuis, les ressortissants russes sont rarement concernés par les rapts et cela d’autant plus que Vladimir Poutine a prévenu les djihadistes « qu’il irait buter les terroristes tchétchènes jusque dans les chiottes » (sic). Peut-on imaginer semblable attitude des services français ? Ce ne serait alors qu’hululements, cris d’orfraie, vociférations et condamnations multiples de nos « bien-pensants »…
           « Le jihad ne s'arrêtera que quand le drapeau de l'Islam flottera sur le balcon de l'Elysée et de la Maison Blanche » a prévenu, de Libye où il réside, le Syrien, Cheik Omar Bakri, une figure emblématique de l'Islam radical, qui a endoctriné des dizaines de milliers d'européens. Dès lors, la complaisance envers ce type d’ennemis ne saurait devenir qu’une coquetterie d'agonisant…
Les terroristes islamiques font la guerre et la guerre, ce n’est pas de la philosophie… Pour eux, il s’agit d’abord de vaincre, quels qu’en soient le prix à payer et les moyens à mettre en œuvre. Pour les philosophes –comme il y en a trop en Europe !- la victoire n’est rien sans le respect de quelque chose qui est au-dessus de la victoire et nos gouvernants devraient s’inspirer de cette mise en garde de Châteaubriand : « La liberté qui capitule ou le pouvoir qui se dégrade n’obtient point merci de ses ennemis ».
            Les demi-mesures, comme c’est le cas actuellement, ne mènent à rien car les vices impunis s’accroissent à l’infini. Mais châtier les coupables, dans notre société émolliente, indifférente, conservatrice, ne ferait que révolter les consciences non contre les criminels… mais contre les victimes. Ces innocents que le terrorisme aveugle et fanatique verse dans la mort servent à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’est pas l’indignation devant la sauvagerie du crime, mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouve toujours une excuse à leur acte « désespéré ».
            Dostoïevski écrivait déjà, dans la « légende du Grand Inquisiteur » : « Qui aime trop l’humanité en général est en grande partie incapable d’aimer l’homme en particulier. Qui plaint trop le malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c’est que nos sociétés vieillottes s’interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits destinés à protéger l’idée qu’elles se faisaient de la civilisation. Elles ont imaginé couler la sagesse dans des lois… codifier l’indulgence et la mesure, pour défendre l’homme contre lui-même. Préoccupées d’exorciser la violence qui bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont naturellement été conduites à interdire la seule forme de violence sur laquelle elles pouvaient peser : La cruelle mais indispensable gamme des châtiments qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel. Négligeant cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante », elles ont inventé un arsenal de répression humain, conçu à l’exacte mesure de coupables considérés comme des égarés et, jugés dignes de cette indulgence, parce qu’ils sont réputés garder –au-delà de la folle parenthèse du crime- le même respect de l’homme qui définit la communauté à laquelle ils appartiennent.
Et, pendant ce temps, pendant que le vieux monde se meurt et que le nouveau tarde à apparaître, pendant que s’accélère cette frénésie des peuples acharnés à assassiner l’Occident comme pour se venger d’avoir reçu de lui la vérité qui prête une force gigantesque à leur faiblesse millénaire, dans ce clair-obscur surgissent les monstres… tandis que l’Occident se bat contre lui-même pour une définition puérile de la liberté.
            Soljenitsyne a écrit : « Toute notre vie là-bas, nous a appris qu’il existe un seul moyen de résister à la violence : c’est la fermeté ! »
           Dans la lutte contre la subversion et le terrorisme, rien n’est plus important que l’application d’une politique de défense préventive ferme et impitoyable à l’égard des adversaires de la Nation. Celui qui sème le vent doit récolter la tempête.

                                                                                              José CASTANO
                                                                       e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

« On ne saurait accepter l’idée que le cours meurtrier de l’Histoire est irrémédiable, et que l’esprit confiant en lui-même ne peut influer sur la force la plus puissante du monde ! »
« L’expérience des dernières générations me convainc pleinement que, seule l’inflexibilité de l’esprit humain, fermement dressé sur le front mouvant des violences qui le menacent, et prêt au sacrifice et à la mort en proclamant : « Pas un pas de plus ! » Seule, cette inflexibilité de l’esprit assure la véritable défense de la paix de l’individu, la paix de tous et de toute l’humanité. » (AlexandreSoljenitsyne)

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Conférences sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

- De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
- L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO au Foyer rural (face au 12, rue Notre Dame) de LASSERRE DE PROUILLE (11270) – D623  Dimanche 19 octobre à 16 heures - Entrée libre -
Contact : JJ Saragosa – Tel. 09 79 22 73 16 ou 06 18 20 44 84 –
Courriel : jjsara@wanadoo.fr