jeudi 23 octobre 2014

L'Algérie et ses secrets montre son vrai visage, profanation et destruction!!!!!!! Nos politiques des incapables!!!!


   Les 1297 marins français assassinés par la Royal Navy à Mers el-Kébir et ainsi morts en vain pour la France le 3 juillet 1940, furent inhumés dans le cimetière militaire de Mers el-Kébir que l’on aménagea alors pour eux dans le prolongement du cimetière Saint-André. Or, en septembre 2002, il s’est avéré que ces marins n’y reposaient plus du tout en paix depuis que leur nécropole avait été définitivement saccagée à une date inconnue au cours des deux années précédentes. Et profanée, en Algérie, cela veut dire vandalisée, souillée, transformée en terrain vague avant de l’être en parc à bestiaux ou en dépotoir : « Plus une seule croix debout. Les plaques sur lesquelles avaient été inscrits les noms des marins français avaient été dévissées. La tombe de l’amiral Darlan ouverte et la plaque qui portait son nom, fracassée. Le mausolée dans lequel étaient déposés les ossements des marins non identifiés est à ciel ouvert, c’est-à-dire qu’il suffit de se baisser pour voir les crânes et les os amassés au fond. » Un second témoin ajoute : « et une échelle permet d’y descendre. » C’était là l’aboutisse
   M. Chirac que les persécutions turques de 1915-1916 contre les Arméniens semblent avoir remué jusqu’au tréfonds – je ne dirais pas jusqu’à l’âme –, s’est-il même arrêté à cette tragédie des restes mortels de nos aînés morts pour la France, souillés et foulés aux pieds par une chienlit de tartuffes corrompus, racistes et xénophobes ? Pendant qu’il recevait en grande pompe à l’Élysée le président “d’honneur” (sic) du FLN, ce despote sanguinaire qui règne à main armée sur le pétrole et le gaz d’Algérie, sans jamais lui faire officiellement part de la légitime indignation du peuple de France devant cet acte sacrilège et barbare, comment Jacques Chirac n’a-t-il pas rougi de son silence par lequel il se faisait le complice des fanatiques ?
   Décidément prêt à tout pour ne pas heurter la susceptibilité confessionnelle des fanatiques algériens, le gouvernement français s’empressa de confisquer toutes les croix latines du cimetière militaire, trahissant et insultant ainsi tous les morts. Une photographie prise courant 2007 prouve en effet qu’il ne subsiste plus la moindre croix dans le cimetière militaire de Mers el-Kébir. En finissant le travail que les damnés avaient commencé, en prêtant ainsi la main à l’ignoble forfait que les vandales avaient commis, le gouvernement de Jacques Chirac ne pouvait guère pousser l’ignominie plus loin, être plus lâche et mieux faire le jeu de cette xénophobie criminelle et raciste.
1950


1962 départ de la France de sa colonie
1961 dernière cérémonie dans le cimetière marin de Mers el Kébir

1999 et 2005 profanation et coup de peinture de l'Algérie
Le point final : je suis musulman et tu enlèves les croix de mécréants. Le comble c'est que les moines de thibérine subissent eux aussi l'insulte des fous de Dieu!!!



23 SEPTEMBRE 1940…
L’AGRESSION BRITANNIQUE SUR DAKAR

« L’empire, sans la France ce n’est rien. La France sans l’empire, ce n’est rien » (Amiral Darlan – Novembre 1942)

« Nous avions reçu un empire ; nous laissons un hexagone » (Colonel Charles Lacheroy)

             Après avoir été donné à la France par le traité de Paris, le 30 mai 1814, Dakar devint, en 1904, la capitale de l’Afrique Occidentale Française (AOF). Située à l’extrémité occidentale de l’Afrique, elle occupait, en 1940, une position stratégique considérable qui faisait bien des envieux. Au point de séparation de l’Atlantique Nord et Sud, en avancée face à l’Amérique Latine, sur le chemin entre l’Afrique du Sud et l’Europe, Dakar intéressait tout le monde et en premier lieu les Britanniques qui, sur le chemin traditionnel de l’Afrique australe et de l’Asie par le Cap, retrouvaient là l’un des enjeux de leurs rivalités coloniales avec la France et voulaient profiter de son écrasement.
            En septembre 1940, le Maréchal Pétain avait confié au général Weygand la délégation générale du gouvernement en Afrique et le commandement en chef des troupes. Ainsi se trouvait affirmée la volonté de défendre l’Afrique mais aussi de préparer les moyens de la revanche.
            Le 31 Août 1940, soit près de deux mois après la lâche agression commise par ces mêmes britanniques sur la flotte française au mouillage et désarmée, dans le port de Mers El-Kébir (Algérie) et près d’un mois après l’entretien Churchill – De Gaulle (6 août 1940) sur les modalités d’une éventuelle attaque contre les forces françaises stationnées au Sénégal et demeurées fidèles au Maréchal Pétain, la force navale M (M comme « Menace ») britannique où se trouvait de Gaulle quitta les ports britanniques pour Freetown en Sierra Leone qu’elle atteignit le 16 Septembre.
            Cette expédition reposait sur deux principes et deux ambitions :
- Churchill espérait mettre la main sur l’or de la Banque de France et des banques nationales belges et polonaises, représentant plus de 1000 tonnes d’or… et sur le cuirassé Richelieu, redoutable par sa puissance de feu (bien que son armement ne fût pas terminé), fleuron de la flotte française.
- De Gaulle désirait s’imposer comme le chef suprême de l’empire français en guerre… empire d’importance que le gouvernement de Vichy tenait, par ailleurs, à défendre ardemment.
Partie de Freetown le 21 septembre, la force M se présenta devant Dakar le 23 à l’aube. A 6 heures, un message de de Gaulle était adressé à la garnison en lui demandant de se rendre… sans effet. Sa seule présence qu’il espérait suffisante, ne provoqua pas à son grand dam les ralliements escomptés… le traumatisme de Mers El-Kébir était trop vif. Le gouverneur général de l'A.O.F., Pierre Boisson, commandant la Place, résolument rangé derrière Pétain, refusa catégoriquement de se rallier, affirmant sa volonté de défendre Dakar « jusqu'au bout » La décision de De Gaulle ne se fit pas attendre : Il fallait débarquer ! Une première tentative de débarquement se solda par un fiasco suivie de deux autres qui subirent le même sort. Une tentative de persuasion politique échoua et Thierry d’Argenlieu, arrivé par mer pour parlementer avec un drapeau blanc, fut accueilli par un tir de mitrailleuse qui le blessa mais son embarcation parvint à s'échapper. Il en résultait que de l’avis de De Gaulle et de l’amiral Cunningham, le patron de la flotte anglaise, la résistance allait être farouche…
            En effet, face à l’armada britannique qui se préparait au combat, la France disposait, cette fois, de solides moyens navals ainsi qu’une sérieuse défense côtière. On en n’était plus aux conditions dramatiques de Mers El-Kébir où la flotte désarmée avait été littéralement assassinée ; cette fois, les marins français étaient prêts au combat et animés, de surcroît, d’un esprit de revanche parfaitement perceptible… et compréhensible. Avant la tragédie de Mers El-Kébir, la flotte française était la 4ème plus puissante flotte du monde ; elle était décidée à le prouver et cela d’autant plus qu’elle n’avait jamais été vaincue…
            Sur cette résistance, de Gaulle écrira dans ses mémoires : « Décidément, l’affaire était manquée ! Non seulement le débarquement n’était pas possible, mais encore il suffirait de quelques coups de canons, tirés par les croiseurs de Vichy, pour envoyer par le fond toute l’expédition française libre. Je décidai de regagner le large, ce qui se fit sans nouvel incident. »
Ainsi se passa la première journée, celle du 23 septembre.
            Dans la nuit du 23 au 24 septembre, plusieurs télégrammes furent échangés entre l’amiral Cunningham et Churchill, décidé à poursuivre l’affaire jusqu’à son terme : « Que rien ne vous arrête ! » Dans cette même nuit, un ultimatum anglais fut adressé aux autorités françaises de Dakar leur enjoignant de livrer la place au général de Gaulle. Le texte était fort maladroit et accusait les forces de Dakar de vouloir livrer leurs moyens aux Allemands. Il ne pouvait que provoquer l’indignation des défenseurs et ne recevoir d’autres réponses que le refus. Le gouverneur général Boisson, répondit : « La France m’a confié Dakar. Je défendrai Dakar jusqu’au bout ! »
            Depuis la tragédie de Mers El-Kébir, Vichy avait décidé de défendre fermement cette position stratégique française et avait envoyé à cet effet, de Casablanca, des bombardiers, des chasseurs et des croiseurs. Il y avait là : Un cuirassé (Richelieu), deux croiseurs légers, quatre contre torpilleur, trois destroyers, six avisos, cinq croiseurs auxiliaires, trois cargos et trois sous-marins. Par ailleurs, la force de frappe aérienne n’était pas négligeable… et elle allait le prouver.
            Du côté anglais, la flotte était tout aussi impressionnante : Un porte avions (Ark Royal qui avait déjà opéré à Mers El-Kébir), deux cuirassés, trois croiseurs lourds, deux croiseurs légers, dix destroyers, deux dragueurs de mines et une dizaine de navires transports de troupes portant 4200 soldats –dont la fameuse 101ème brigade des Royal Marines… à laquelle s’ajoutait l’armée gaulliste composée de trois avisos, un patrouilleur, quatre cargos et 2700 soldats français.
            Toute la journée du 24 se passa en échanges de coups d’artillerie de marine entre les deux flottes qui firent de nombreuses victimes parmi les marins des deux camps et la population civile qui subit également ce pilonnage. Des obus anglais de gros calibre (380m/m) tombèrent sur la ville, touchant, entre autres, l’hôpital et la caserne du 6° RAC, faisant 27 morts et 45 blessés. En soirée, la situation n’avait guère évolué…
            Le lendemain, 25 septembre, la ténacité britannique continua. Les navires de la force M voulurent de nouveau s’approcher afin de poursuivre leur œuvre de destruction, mais, comme précédemment, ils durent se frotter aux bâtiments français (Vichystes, diront les gaullistes !) qui leur infligèrent de sérieux dégâts et cela d’autant plus que l’aviation française était maîtresse du ciel.
            C’en était trop ! De Gaulle écrira : « L’amiral Cunningham décida d’arrêter les frais. Je ne pouvais que m’en accommoder. Nous mîmes le cap sur Freetown. »
            L’armée française sortait vainqueur de la bataille en dépit de ses 203 morts et 393 blessés. Les 1927 morts de Mers-El-Kébir étaient en partie vengés.
            Cette opération constitua un tournant idéologique pour les gouvernements, bien plus qu'un affrontement important du point de vue des forces en présence, du nombre des victimes ou des pièces militaires détruites ou endommagées. L’aventure anglo-gaulliste se solda ainsi par un cuisant échec et eut des conséquences considérables.
- D’un côté, le régime de Vichy sortait renforcé de l’épreuve et la cohésion des troupes de la marine –toujours invaincue- autour de la personne du Maréchal Pétain, revigorée.
- De l’autre, le crédit du général de Gaulle dégringolait en chute libre. L’homme se retrouvait isolé. Soudainement mis à l’écart, il fut politiquement menacé par l'amiral Muselier accusé à tort d'avoir été à l'origine des fuites qui empêchèrent le débarquement. Il ne s’en cacha pas dans ses mémoires : « A Londres, une tempête de colères, à Washington, un ouragan de sarcasmes, se déchaînèrent contre moi. Pour la presse américaine et beaucoup de journaux anglais, il fut aussitôt entendu que l’échec de la tentative était imputable à de Gaulle. » … « C’est lui, répétaient les échos, qui avait inventé cette absurde aventure, trompé les Britanniques par des renseignements fantaisistes sur la situation à Dakar, exigé par donquichottisme, que la place fût attaquée alors que les renforts envoyés par Darlan rendaient tout succès impossible… »
             De son côté, Churchill, lui aussi, sortait de l’aventure en fâcheuse posture. Il dut subir les sarcasmes de la Chambre des Communes et fut à deux doigts d’être démissionné. S’il lui avait été facile de détruire, à Mers El-Kébir, une flotte désarmée (et pourtant alliée) causant la mort de 1927 marins, manifestement, avec Dakar ce fut tout autre et son désir de s’emparer de l’excellente et cohérente flotte française ou de la détruire se solda par un échec retentissant.

                                                                                              José CASTANO

e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

jeudi 9 octobre 2014

imanche 12 février 2012

"Le bûcher des vaniteux", le prochain livre d'Eric Zemmour sort le 1er Mars 2012

C'est avec grand plaisir que nous partageons avec vous cette information concernant la sortie du nouvel ouvrage d'Eric Zemmour "Le bûcher des vaniteux", qui sera disponible le 1er Mars 2012. Celui-ci rassemblera ses chroniques RTL depuis 2010.

Présentation de l'éditeur
« J’ai tenu, chaque matin, le journal de bord de cette année surprenante, inquiétante, mirobolante. De mon poste d’observation privilégié, j’ai vu brûler les bûchers des vaniteux. Comme au temps de Philippe Le Bel, le petit peuple de Paris, sidéré et vaguement inquiet, regarda brûler celui des Templiers.
J’y ai même glissé ma petite allumette. Ni vu ni connu. Pas pu m’empêcher. Un réflexe, une mauvaise habitude. Une revanche aussi. Je vous en prie, ne me dénoncez pas. Suis en sursis. »

Vous pouvez précommander cet ouvrage avec notre partenaire Amazon qui vous l'enverra le jour de sa sortie. Les frais d'envoi sont gratuits pour la France. 

ISLAM… GUERRE A LA CHRÉTIENTÉ

ISLAM… GUERRE A LA CHRÉTIENTÉ

« L’islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers » (Bossuet)

Pour juger l’islamisme, il suffit de voir les effets terribles qu’il a produits partout où il a dominé. La corruption des deux sexes, l’avilissement et la captivité des femmes, la nécessité de les renfermer et de les faire garder (généralement par la mère de l’époux), une ignorance universelle et incurable, le despotisme des religieux, le rejet de la chrétienté qu’il juge « païenne », la haine vouée à l’occident ; tels sont ses fruits.
Dans la majorité des Etats musulmans où vivent encore des chrétiens, derniers rescapés des massacres et déportations organisés par les envahisseurs arabo-musulmans, ces peuples ont été réduits à l’état de « dhimmis », c’est-à-dire de citoyens de seconde zone, totalement soumis à la volonté et aux exactions arbitraires de leurs « protecteurs » musulmans. Cet état de véritable esclavage n’est rien moins que celui que des sectes islamistes, telles celles de l’Etat Islamique (EI) et de Boko Haram, entre autres, entendent imposer aujourd’hui aux chrétiens d’Orient… et, demain, aux peuples d’Occident qui refuseraient de s’islamiser.
Pour l’Islam, en effet, le monde n’est divisé qu’en deux territoires : le territoire de l’Islam (« dar el-islam ») et le territoire de la guerre (« dar el-harb »), c’est-à-dire le territoire non musulman où la guerre doit être portée. Les intentions de l’Islam, de tout l’Islam, sont claires : l’ordre islamique doit régner partout par le Djihad, la « guerre sainte ». Tous les jours les déclarations de responsables musulmans le confirment.
Pour les islamistes radicaux et fanatiques, les chrétiens sont des infidèles. Ils doivent faire soumission, payer la rançon en subissant l’humiliation ou se convertir à l’islam. Dans le Nord de l’Irak aux mains des djihadistes de l’Etat Islamique (EI), les haut-parleurs –particulièrement à Mossoul- déversent leurs menaces à l’encontre des chrétiens : « Devenez musulmans et sujets du califat ou alors payez la jyziah ! ». S’ils refusent de se convertir, ils doivent s'acquitter de la jyziah, l’impôt révolutionnaire. Pour les chrétiens qui ne voudraient pas (ou ne pourraient pas) la payer, il leur reste la solution de quitter le pays sans rien emporter... seulement, la plupart du temps, ils sont massacrés après avoir assisté au viol collectif de leurs femmes et de leurs filles.
A Mossoul, deuxième ville irakienne en termes de population avec 1,5 million d'habitants, les églises sont brûlées, les livres saints et leurs objets sacrés profanés, les croix systématiquement brisées, les prêtres et les évêques sont enlevés et égorgésL’Etat Islamique (EI) a retiré les croix des cathédrales et les a remplacées par ses drapeaux, selon des images répandues par lui-même, rappelant en guise de suprême menace, le massacre perpétré en pleine messe dans la cathédrale Notre Dame du Perpétuel Secours, à Bagdad, le dimanche 31 octobre 2010. Ce jour là des terroristes ceinturés d’explosifs avaient abattu 58 fidèles et blessé 78 autres.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon s'est alarmé des persécutions des chrétiens de Mossoul par les djihadistes de l'EI, déclarant que ces massacres « pouvaient être considérés comme un crime contre l'humanité ».
Dans une interview accordée à CNN, Mark Arabo (PDG californien et chef Américano-Chaldéen) explique les actions de l’EI sur le fait qu’« un holocauste chrétien est en route ». « En ce moment même, trois mille chrétiens sont en train de fuir l’Irak pour se rendre dans les villes avoisinantes. Les gens de l’EI  décapitent systématiquement les enfants », a répété Arabo lentement. « Et pères et mères. Le monde n’a pas vu quelque chose d’aussi démoniaque depuis des générations »…
« Ils sont généralement entassés dans un parc à Mossoul où ils décapitent les enfants et mettent leurs têtes sur des piques... c’est un crime contre l’humanité. Ils pratiquent les crimes les plus horribles, les plus inhumains à en briser le cœur que vous pouvez imaginer. »
            Le génocide des chrétiens d’Orient prenant une ampleur apocalyptique, le 5 août 2014, Mme Vian Dakhil, députée, membre de la communauté kurdophone des yazidis -dont la religion, héritée de l’ancien culte indo-iranien, avait déjà 2000 ans d’existence à la naissance du Christ- lançait un appel déchirant à ses collègues au parlement irakien : « 500 hommes yazidis ont été tués par les djihadistes, les femmes sont vendues au marché aux esclaves… Nous sommes massacrés, notre religion est en train d’être rayée de la surface de la Terre. Au nom de l’humanité, je vous en supplie ! »… et Mme Dakhil d’expliquer que ces femmes sont conduites comme du bétail au marché aux esclaves récemment rouvert à Mossoul, qu'elles y sont déshabillées, recouvertes d'une burka blanche et vendues aux enchères, au prix moyen de 150 $. Plus de 700 Yazidis ont été récemment offertes à la vente le même jour.
L’une d’entre elles a réussi, à l’aide de son portable qu’elle avait préalablement caché, à téléphoner à l'agence kurde Rudaw : « Venez à notre secours, venez à notre secours ! », suppliait-elle. « Que tous ceux qui peuvent entendre mon appel, USA, Europe, quiconque, s'il vous plaît : Aidez-nous, ils ont fait de nous des esclaves sexuelles ! »… « Chaque jour, des combattants de l'EI viennent dans l'entrée de la prison pour choisir les plus jolies filles pour leurs émirs », raconte la jeune femme âgée de 24 ans (qui a pris un risque énorme) et dont le nom n'est évidemment pas dévoilé par l’agence. « Les filles les supplient de leur tirer une balle dans la tête pour mettre fin à leur calvaire », raconte-t-elle entre deux sanglots
Dans un autre appel, elle décrit des conditions de vie épouvantables, y compris la nourriture. « Nos tortionnaires n’épargnent personne. Ni les femmes avec des enfants en bas-âge pas plus que les petites filles de moins de douze ans. Certaines fillettes sont devenues muettes à force d’être abusées et ont été emmenées par les djihadistes. Beaucoup de mères ont tenté de se suicider après ça », dit-elle, suppliant qu'on les aide.
Dans son édition du 25 septembre 2014, p. 44 et suivantes, on pouvait lire dans « Valeurs actuelles » : « les chrétiennes sont les plus prisées. Des émissaires de nos amis et alliés des Pays du Golfe viennent faire leur marché pour approvisionner les harems de leurs maîtres… »
Dans cet univers de terreur, des combattants français et britanniques de l’EI débattent quotidiennement de l’utilisation des femmes yazidis comme esclaves sexuelles, d’après les prescriptions du Coran. Ils en arrivent à la conclusion que les musulmans peuvent posséder et vendre des non-musulmans comme esclaves, en particulier des femmes que le maître peut utiliser et violer à sa convenance.
L’horreur qu’inspirent ces « fous d’Allah » dont la perversion n’a d’égale que leur folie meurtrière, sont de purs produits de la « douce France » issus de la diversité et de l’immigration… cette « chance pour la France ». Ce sont les mêmes qui, bien qu’étant passés par l’école laïque et républicaine et ayant bénéficié leur vie durant de la panoplie complète des prestations sociales, n’ont eu de cesse de conspuer « La Marseillaise », brûler le drapeau tricolore et crier leur haine de la France avant de rejoindre les bas-fonds de l’innommable perversion du nihilisme musulman… c’est ce qui s’appelle « un exemple d’intégration réussie » ! Et ce sont ces gens-là que François Hollande veut « épargner » en refusant de bombarder les sites tenus par l’EI en Syrie, susceptibles d’abriter nos « compatriotes » !…
Sur ce point, une enquête datant de juillet 2014 réalisée par l’institut britannique ICM research dans plusieurs pays européens et commandée par l’agence de presse russe « Rossia Segodnya » a révélé que 16% des Français interrogés (lesquels ?) avaient une opinion « très favorable », pour 3%, ou « assez favorable » pour 13% de l’Etat Islamique… ce qui donne tout de même, sur une population française métropolitaine de 64 millions d’habitants, plus de 10 millions de « sympathisants »… et quand on sait que ce pourcentage favorable à l’EIgrimpe à 27% chez les 18-24 ans, il n’y a pas lieu de s’étonner de l’engouement qu’exerce sur ces jeunes cette secte djihadiste…
Répondant, « enfin » au cri de détresse des chrétiens d’Orient, la France, l’Angleterre et les USA, ont entrepris de convoyer une aide humanitaire urgente auprès de cette population martyre sur le point d’être exterminée et de soutenir militairement les forces kurdes qui combattent les djihadistes de l’EI par la livraison d’armes aux peshmergas et un appui aérien.
La population chrétienne de l'Irak était estimée à plus d'un million, dont plus de 600.000 à Bagdad, 60.000 à Mossoul, mais était également présente dans la ville pétrolière de Kirkouk (nord) et à Bassora (sud). Ainsi, sous nos yeux, le nord de l’Irak est devenu un camp de la mort pour les chrétiens d’Orient. Il deviendra, indéniablement, un camp de la honte pour l’Occident s’il ne met pas un terme à cette sanglante tragédie marquée par une épuration ethnique et religieuse sans précédent et à la fin de 2000 ans d'histoire des chrétiens en Irak.
           En Syrie, la situation n’est guère plus réjouissante… La plupart des chrétiens sont orthodoxes. Ils se raccrochent désespérément à Bachar el-Assad et à la Russie protectrice historique des églises orthodoxes d'Orient… Au Nigéria, depuis août 2014, 185 églises ont été incendiées par Boko Haram et près de 200 000 personnes n’ont dû leur salut que dans la fuite…
En Egypte, l'église copte, fondée par saint Marc selon la tradition, est sur la défensive. Elle a connu avec « les frères musulmans » les mêmes dérives islamistes, les mêmes massacres... Le coup d’état du Maréchal Al-Sissi leur est apparu comme une divine providence…
Au Liban, le 10 septembre 2014, une statue de la Vierge à l’intérieur d’une église de Kahf el-Malloul, un village du nord, a été vandalisée, selon l’Agence nationale d’information et les murs de l’église Saint Elie de Beyrouth ont été recouverts de graffitis en arabe : « L’état islamique brisera la croix »…
En Turquie, une antique église chrétienne, l’église Saint-Sophie d’Eregli qui avait rang de cathédrale, dans la province de Zonguldak, a été transformée, septembre 2014, en mosquée et ouverte au culte musulman. C’est la neuvième église chrétienne, sous le vocable de Sainte-Sophie, convertie de la sorte depuis quelques années… tandis qu’en Palestine, les chrétiens subissant la loi du Hamas ne doivent leur salut que dans une fuite désespérée, tout cela sous l’éternelle proclamation des djihadistes « d’étendre le Califat sur Rome et planter le drapeau noir sur la basilique St. Pierre ».
Si l’Occident chrétien décidait, enfin, d’éradiquer à jamais ce poison islamiste, puissions-nous dire alors, à l’instar de Chateaubriand :« Il a fallu que le Christianisme vînt chasser ce peuple de fauves, de satyres et de nymphes, pour rendre aux grottes leur silence et aux bois leur rêverie ».

                                                                                                          José CASTANO
                                                                              Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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L’avertissement terrible de l’archevêque de Mossoul à l’Occident -  Cliquez sur :

Le 19 août 2014, dans une déclaration au quotidien italien Corriere de la Serra, l’archevêque de Mossoul, Mgr Amel Shimoun Nona, a adressé un avertissement solennel à l’Occident. Il a crié à ses frères chrétiens d’Occident :
« Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d'un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. S’il vous plaît, il faut que vous compreniez que vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine car l’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. »

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Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO au Foyer rural (face au 12, rue Notre Dame) de LASSERRE DE PROUILLE (11270) –D623 – Dimanche 19 octobre à 16 heures. Entrée libre.
Contact : JJ Saragosa – Tel. 09 79 22 73 16 ou 06 18 20 44 84 – Courriel : jjsara@wanadoo.fr

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Colloque du Cercle algérianiste du GERS – 27 et 28 Novembre 2014
Théâtre de Condom - 1 rue de la République - 32 100 CONDOM
Parking sur les quais

Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42

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