dimanche 7 décembre 2014

Le Cercle algérianiste salue la décision du maire de Béziers


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Communiqué de presse    



Le Cercle algérianiste salue la décision du maire de Béziers,
de débaptiser la rue du «19 mars 1962» et de la renommer,
rue «Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc»

   
Aujourd'hui, 5 décembre, le maire de Béziers, Robert Ménard, a annoncé son intention de débaptiser la rue du «19 mars 1962» et de la renommer, rue «Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc».
Le Cercle algérianiste, principale association nationale de Français d'Algérie, salue cette décision courageuse, et rappelle que la guerre d'Algérie ne s'est pas arrêtée au 19 mars 1962, date après laquelle des dizaines de milliers de Harkis et de Pieds-Noirs ont été assassinés par le FLN, dans d'indescriptibles conditions.
Cette date, rejetée par la quasi-totalité du monde combattant, de même que par l'ensemble des associations de Harkis et de Pieds-Noirs, divise la nation et avive les blessures de milliers de familles de victimes.
Elle ne peut rassembler, ceux qui veulent commémorer la fin de la guerre d'Algérie, dans la dignité et le souvenir.
En choisissant de rebaptiser cette rue, «Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc», héros de la résistance et déporté à Buchenwald, le maire de Béziers rend hommage à une personnalité d'exception aux hautes valeurs morales et au sens de l'honneur indiscutable.
Rappelons, également, qu'Hélie Denoix de Saint-Marc a partagé la douleur et les épreuves des Pieds-Noirs et des Harkis, et n'a pas hésité à faire don de sa propre liberté pour respecter la parole donnée.
Le Cercle algérianiste appelle tous nos compatriotes, épris d'équité et de justice, à soutenir la décision du maire de Béziers, qui ouvre le champ de la mémoire, loin des carcans idéologiques, et reconnaît que les souffrances et les drames des Français d'Algérie ne peuvent être jetés dans les fosses de l'oubli.
Thierry ROLANDO
Président National du Cercle algérianiste

Pour apporter votre soutien à cette décision, vous pouvez écrire au Maire de Béziers :
- par email : com@ville-beziers.fr
- par poste : Mairie de Béziers - Secrétariat du Maire - Place Gabriel Péri CS 60715 - 34508 BÉZIERS Cedex

jeudi 20 novembre 2014

Thomas Dupuy, du pardon mais jamais d’oubli

 Bravo, Madame!!

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Thomas Dupuy, du pardon mais jamais d’oubli

> > > Ce matin, dans un petit coin de la presse locale, j’ai lu qu’hier, une cérémonie d’hommage avait été rendue à :
> > > > « Thomas Dupuy, ce Toulousain tué le 29 octobre dans un accrochage avec un groupe terroriste au Mali.
> > > > Une cérémonie aux Invalides à Paris, présidée par le général Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, et en présence notamment de Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse. »
> > > Pas de Premier ministre, ni de ministre de l’Intérieur, encore moins de secrétaire d’Etat aux Armées. Quant au Président, n’en parlons pas !
> > > Non, ce matin, en ouvrant l’actualité, votre journal vous hurle encore : « Rémi Fraisse est mort ! Mort à ceux qui l’ont tué ! »
> > > > Vous tentez de le refermer rapidement, quand tout à coup la grande faucheuse en personne sort de la Une et vous susurre :
> > > > « Il est mort… et c’est toi qui l’a tué ! »
> > > > Alors vous jetez à toute hâte le quotidien que vous teniez entre vos mains et décidez de vous servir un bon café, pensant que tout ceci n’est qu’hallucination.
> > > > Seulement voilà, il n’en est rien. Tout ceci est bien réel.
> > > > Aujourd’hui je ne m’attarderai pas sur le funeste sort de ce jeune militant, car d’autres le font déjà pour moi et suffisamment.
> > > Aujourd’hui je dénonce un crime national, un crime horrible, un crime insoutenable et patricide : le mépris pour l’armée française.
> > > > Petite-Fille, belle-soeur, soeur, nièce et cousine de militaires, très hauts gradés pour certains, je dénonce les raisons qui nous ont conduits à cela, à cette attitude nauséabonde et indigne de nous.
> > > Le gouvernement n’honore plus ses soldats morts aux combats, pour la simple et bonne raison qu’ils n’ont plus aucune valeur à ses yeux. Et pour cause :
> > > > Il a délibérément supprimé le service militaire pour en faire une journée loufoque de détection d’illettrés, une journée d’appel à la défense, mais également d’appel à la fumisterie nationale…
> > > > Il réduit chaque année le budget de l’Armée française, pour combler par ailleurs je ne sais quelles gabegies et dépenses publiques dont il est le seul responsable…
> > > > Les gouvernements passés ont signé l’arrêt de mort du patriotisme militaire en autorisant le choix des binationaux…
> > > > Il désarme petit à petit nos hommes en leur donnant des jouets en plastique « faute de budget »…
> > > > Il préfère imposer l’éducation sexuelle dès le plus jeune âge dans l’école de la République au lieu de leur inculquer les vrais devoirs civiques…
> > > L’Etat a réussi l’exploit invraisemblable et suicidaire de tuer l’amour de la patrie et le désir de la servir.
> > > > Mais une poignée d’irréductibles comme moi se réveille, et entre à nouveau dans la cité, cité de laquelle l’Etat nous a écartés parce que le patriotisme, c’est sale, c’est mal, c’est Pétain, c’est fasciste : enfin, tout le monde le sait !
> > > > Pourquoi Thomas Dupuy et tous ses frères d’armes français tués toutes ces dernières années n’ont-ils pas fait la UNE pendant des semaines, n’ont-ils pas suscité l’émotion dans les écoles (j’ai dit l’émotion, pas l’absentéisme…) ou d’hommages présidentiels dans tous les cantons ? Et les 3 jours de deuils nationaux ? Et les minutes de silence, les vraies, celles qui durent 60 secondes ? Disparus… gommés.
> > > > Ce qui semble être un épiphénomène cache une réalité bien plus grave.
> > > > Lorsque j’ai vu que Rémi Fraisse avait été répertorié sur Wikipédia contrairement à tous nos soldats pour la France, j’ai compris. J’ai compris une chose terrible et j’ai su à cet instant que nous ne vivions plus en France mais dans le meilleur des mondes.
> > > > J’ai compris que j’étais une outsider, comme on dit dans le jargon, et que je serai condamnée à nager à contre-courant jusqu’à qu’un nouveau changement profond ébranle à nouveau notre Pays, comme il y a deux siècles peut-être…
> > > Car la crise est là, et elle est trop profonde pour qu’un simple quinquennat de gauchistes ne la soigne…
> > > > Au nom de tous ces fous, je te demande pardon, terre qui m’a vue naître et me nourrit.
> > > > Pardon de ce mépris, de cet oubli, je te promets d’oeuvrer pour que cela cesse, par amour pour toi.
> > > > Thomas Dupuy, du pardon oui, mais par pitié : jamais d’oubli.

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mercredi 5 novembre 2014

Le Coran, le code de la route des tueurs!!!!

La page de garde de ce blog, la destruction du cimetière chrétiens en Algérie


La Charia … ou l’esclavage des temps modernes

« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. » (Alexis de Tocqueville)

Dans nos sociétés occidentales, le citoyen lambda a du mal à comprendre l’interprétation de la parole de Dieu qui est donnée par l’Islam... Tout n’est que contradiction dans ses propos religieux. Ainsi, bien que Dieu soit loué en permanence –même quand il s’agit d’égorger aux cris d’« Allah Akbar ! »-, on ne peut être que choqué par les tolérances du Coran sur certains points et par son paradis voluptueux…
La loi de Jésus est généreuse ; elle ordonne le pardon, l’oubli de soi, le sacrifice, tandis que la loi de Mahomet prescrit le talion dans la vie sociale et néglige les commandements suprêmes : « Tu travailleras ; tu ne tueras point ! » Or, il n’est pas bien loin le temps où, un père furieux et honteux de la naissance chez lui d’une fille, l’enterrait vivante ou qu’un mari tenait à l’attache un troupeau d’esclaves dont il usait à sa fantaisie, sans retenue légale ou morale…
Par conséquent, rien ne révolte plus que cet état dépendant que l’Islam impose, notamment, à la femme, que ces préjugés, ces erreurs accumulées, ces hypocrisies sans bornes qui dominent la vie de cette race.
L’un des problèmes sur lequel la Tradition musulmane se heurte de plus en plus aux impératifs et aux valeurs du monde moderne est celui, précisément, de la condition de la femme, soumise à trois lois : la polygamie, le droit du jebr (mariage des mineurs sans les consulter) et la répudiation unilatérale.
Pour exemple, le Prophète Mahomet a épousé une petite fille âgée de six ans et le mariage a été consommé quand elle a eu neuf ans…
Sur la vie familiale –cellule de base de nos sociétés occidentales- les conceptions de l’Islam sont totalement étrangères aux nôtres. Elles assujettissent la femme aux privilèges masculins. Il y a quelques années de cela, à la suite des contestations qui avaient opposé, en France, des Européennes divorcées de musulmans se plaignant de s’être vu enlever leur enfant (c’est encore le cas aujourd’hui) –illustrant bien l’incompatibilité dramatique de deux conceptions différentes- le cheikh Abbas Ben Cheikh El Hocine, à l’époque, recteur de la Mosquée de Paris, s’était permis de mettre en garde les femmes françaises qui épouseraient des Maghrébins. Il avait déclaré : « la future mère qui épouse un musulman doit savoir que les enfants issus de cette union seront musulmans. L’enfant est appelé à perpétuer le nom et l’identité religieuse de son père ».
Cette attitude s’explique dans une société où la lignée l’emporte sur l’individu, et les droits de l’homme sur ceux de la femme. Dans le monde musulman, il n'y a pas de punition pour les crimes commis par les hommes contre les femmes. La charia (loi islamique) est axée strictement sur la punition des femmes.
Alors que dans les sociétés occidentales la femme est considérée comme étant l’égale de l’homme, le Coran (4,34) affirme que « les hommes ont autorité sur les femmes », que les « femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et que « si les hommes craignent la désobéissance de leur(s) femme(s) ils peuvent les exhorter et même les frapper ».
Pour les hommes comme pour les riches et les influents, la loi islamique est plus clémente. C'est ainsi que, par exemple, en Arabie Saoudite, récemment, une jeune femme violée a écopé d’un an de prison ferme et cent coups de fouet pour « adultère »… tandis que ses cinq agresseurs n'ont pas été inquiétés le moins du monde…
Au Koweit, on vous dira que « acheter des esclaves sexuelles permettrait aux hommes koweitiens « décents », « dévoués » et « virils » de résister au démon de l'adultère ». Mais cela est valable aussi au Qatar et dans toute la péninsule arabique. La femme n'étant qu'un objet, l'adultère n'y a pas le même sens qu’en Occident. Violer une femme, c’est également voler l'homme qui en est propriétaire. Dès lors, la femme devient adultère et doit être lapidée puisque par définition, c'est de sa faute. C’est l’Islam !...
C’est, pour les hommes, l'approbation légale de leurs crimes contre les femmes. C'est la liberté d'abuser d’elles et de les utiliser comme il leur plaît, sans limites. Par ailleurs, l’excision fait toujours partie des traditions, perpétuée de génération en génération afin que le plaisir amoureux que pourrait prendre la femme à la relation sexuelle reste toujours inférieur à celui de l’homme…
En Algérie, selon le quotidien « El Chourouk », 4000 femmes sont répudiées chaque année par leurs maris parce qu’elles ont un cancer du sein. Selon Hamida Kateb, présidente de l’association d’aide aux personnes atteintes de cancer, les hommes qui choisissent d’abandonner leurs épouses dans ce contexte « refusent d’accepter les changements physiques qui surviennent chez leurs femmes. Ils considèrent que ces femmes ne sont plus en mesure d’accomplir le devoir conjugal ». En plus de la terrible détresse psychologique et de l’isolement qui en résulte, les femmes répudiées du jour eu lendemain se retrouvent, pour la plupart, sans couverture sociale après le divorce et sans soins, car trop onéreux.
Au Nigéria, depuis des années, la secte musulmane Boko Haram (qui signifie « l’éducation à l’occidentale est impure ») ne cesse de perpétrer des abominations en tous genres : Assassinats, attentats, viols, massacres collectifs, rapts d’otages et de jeunes femmes destinées à des « mariages-esclaves » ou à l’entretien des harems.
Cette secte djihadiste capture femmes, jeunes filles, enfants pour les donner en esclaves sexuelles à ses soldats, les plus belles étant vendues à de riches africains ou arabes. L’horreur de la barbarie esclavagiste de Boko Haram relève sans contestation possible de ce que l’on désigne aujourd’hui comme crimes contre l’humanité. Ces crimes sont en effet perpétrés dans le plus total déni d’humanité de la femme, inhumainement traitée comme du bétail.
Un rapport de Human Rights Watch datant de fin 2013 fait notamment état d'enlèvements et de viols de femmes et de jeunes filles par le groupe islamiste et d'enrôlement de force de jeunes enfants.
On se souvient avec effroi de l’enlèvement de ces 276 jeunes filles, élèves d’un lycée de la ville de Chibok (Nigéria), enlevées le 14 avril 2014 dans leur établissement par des hommes armés et menaçants. Le chef de Boko Haram, le tristement célèbre, Abubaker Shekau, a aussitôt revendiqué les enlèvements, déclarant avoir enlevé les lycéennes parce que « l’éducation occidentale doit cesser » et que les filles « doivent quitter l’école et être mariées », menaçant, par ailleurs de vendre les jeunes filles sur le marché, « au nom d’Allah ».
Selon la Maison Blanche, « beaucoup d'entre elles ont probablement été déplacées hors du pays, vers des pays voisins », a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine, Marie Harf, tandis que des informations circulaient sur le possible transfert des adolescentes au Tchad et au Cameroun voisins, où elles auraient été vendues pour 12 dollars chacune.
L’enseignement étant désormais devenu impie, le 17 septembre 2014, deux djihadistes avec armes automatiques, grenades et ceintures d’explosifs ont pénétré à l’intérieur du « Federal College of Education » (Centre de formation des professeurs) de Kano et se sont livrés à un massacre, tuant 15 étudiants et en blessant une trentaine d’autres. Durant le seul mois de juillet, cinq attaques similaires, imputables à Boko Haram, ont eu lieu à Kano.
Confortée par l’incompétence et la veulerie de gouvernants corrompus, la démission et la déliquescence d’une armée nullement entretenue et non payée, cette secte s’enhardit à chacune de ses attaques, faisant régner sa loi et sa terreur en toute impunité. C’est ainsi que le 25 octobre 2014, 60 autres femmes et jeunes filles furent enlevées à Wagga et, le lendemain, une trentaine d’adolescents (garçons et filles) connurent le même sort dans un village de l’Etat de Borno, au nord-est du Nigéria… sans la moindre réaction des autorités.
…Et le calife autoproclamé, Abou Bakr al-Baghdadi, chef de l’Etat Islamique (EI), en fait autant en Irak et en Syrie. Ce sont des arabes chrétiennes, mais aussi yazidis et des musulmanes chiites qui sont présentées dans des cages, comme des animaux et serviront d'esclaves sexuelles autant que domestiques. Mise à prix une centaine de dollars « pièce » !...
« La liste des crimes atroces commis par l'État Islamique à l'encontre des Yézidis en Irak ne cesse de s'allonger », a déclaré Fred Abrahams, conseiller spécial à Human Rights Watch. « Nous avons recueilli des témoignages au sujet de conversions religieuses forcées et de mariages forcés, ainsi que d’agressions sexuelles et d’esclavagisme… et certaines victimes ne sont que des enfants. »
En août, les Nations unies ont notamment estimé que l’organisation terroriste avait réduit en esclavage sexuel environ 1 500 femmes et adolescentes dans le Nord de l’Irak et Amnesty International en a fait de même. On est bien loin –dans les faits- de l’illusion entretenue en Occident d’une religion musulmane « de paix et d’amour » tolérante envers les autres religions…
            Et ce qui nous révolte, nous, Français, c’est que face à ces abominations on n’entend nullement se dresser ni Caroline Fourest, ni Najat Belkacem, ni les Femen, ni Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la République, ni son conseiller, Said Bouamama, de « Nique la France » qui n’ont de cesse de dénoncer « l’esclavagisme blanc » de jadis en occultant négligemment l’esclavagisme musulman. Il est vrai qu’en la matière, ils peuvent compter sur l’appui inconditionnel de Christiane Taubira, notre inénarrable ministre de « l’injustice », la passionaria indépendantiste guyanaise qui, dans L’Express du 4 Mai 2006 déclarait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfais de leurs Pères ! »… en contradiction flagrante avec l’anthropologue Malek Chebel qui écrit à ce sujet : « Parce que je suis un intellectuel musulman, je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’Islam à prospéré ! »
                                                                                  José CASTANO
                                                           Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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Vidéo à visionner impérativement - Cliquez sur :

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L’Islam, religion de « paix et d’amour »… et la condition féminine

De jeunes filles musulmanes (encore enfants)
enchaînées pour être livrées à leurs prédateurs sexuels
               

      

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Colloque du Cercle algérianiste du GERS – 27 et 28 Novembre 2014
Théâtre de Condom - 1 rue de la République - 32 100 CONDOM
Parking sur les quais


Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42

Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO dans le cadre du Colloque du Cercle algérianiste du GERS, le 27 novembre à 16 heures.

jeudi 23 octobre 2014

L'Algérie et ses secrets montre son vrai visage, profanation et destruction!!!!!!! Nos politiques des incapables!!!!


   Les 1297 marins français assassinés par la Royal Navy à Mers el-Kébir et ainsi morts en vain pour la France le 3 juillet 1940, furent inhumés dans le cimetière militaire de Mers el-Kébir que l’on aménagea alors pour eux dans le prolongement du cimetière Saint-André. Or, en septembre 2002, il s’est avéré que ces marins n’y reposaient plus du tout en paix depuis que leur nécropole avait été définitivement saccagée à une date inconnue au cours des deux années précédentes. Et profanée, en Algérie, cela veut dire vandalisée, souillée, transformée en terrain vague avant de l’être en parc à bestiaux ou en dépotoir : « Plus une seule croix debout. Les plaques sur lesquelles avaient été inscrits les noms des marins français avaient été dévissées. La tombe de l’amiral Darlan ouverte et la plaque qui portait son nom, fracassée. Le mausolée dans lequel étaient déposés les ossements des marins non identifiés est à ciel ouvert, c’est-à-dire qu’il suffit de se baisser pour voir les crânes et les os amassés au fond. » Un second témoin ajoute : « et une échelle permet d’y descendre. » C’était là l’aboutisse
   M. Chirac que les persécutions turques de 1915-1916 contre les Arméniens semblent avoir remué jusqu’au tréfonds – je ne dirais pas jusqu’à l’âme –, s’est-il même arrêté à cette tragédie des restes mortels de nos aînés morts pour la France, souillés et foulés aux pieds par une chienlit de tartuffes corrompus, racistes et xénophobes ? Pendant qu’il recevait en grande pompe à l’Élysée le président “d’honneur” (sic) du FLN, ce despote sanguinaire qui règne à main armée sur le pétrole et le gaz d’Algérie, sans jamais lui faire officiellement part de la légitime indignation du peuple de France devant cet acte sacrilège et barbare, comment Jacques Chirac n’a-t-il pas rougi de son silence par lequel il se faisait le complice des fanatiques ?
   Décidément prêt à tout pour ne pas heurter la susceptibilité confessionnelle des fanatiques algériens, le gouvernement français s’empressa de confisquer toutes les croix latines du cimetière militaire, trahissant et insultant ainsi tous les morts. Une photographie prise courant 2007 prouve en effet qu’il ne subsiste plus la moindre croix dans le cimetière militaire de Mers el-Kébir. En finissant le travail que les damnés avaient commencé, en prêtant ainsi la main à l’ignoble forfait que les vandales avaient commis, le gouvernement de Jacques Chirac ne pouvait guère pousser l’ignominie plus loin, être plus lâche et mieux faire le jeu de cette xénophobie criminelle et raciste.
1950


1962 départ de la France de sa colonie
1961 dernière cérémonie dans le cimetière marin de Mers el Kébir

1999 et 2005 profanation et coup de peinture de l'Algérie
Le point final : je suis musulman et tu enlèves les croix de mécréants. Le comble c'est que les moines de thibérine subissent eux aussi l'insulte des fous de Dieu!!!



23 SEPTEMBRE 1940…
L’AGRESSION BRITANNIQUE SUR DAKAR

« L’empire, sans la France ce n’est rien. La France sans l’empire, ce n’est rien » (Amiral Darlan – Novembre 1942)

« Nous avions reçu un empire ; nous laissons un hexagone » (Colonel Charles Lacheroy)

             Après avoir été donné à la France par le traité de Paris, le 30 mai 1814, Dakar devint, en 1904, la capitale de l’Afrique Occidentale Française (AOF). Située à l’extrémité occidentale de l’Afrique, elle occupait, en 1940, une position stratégique considérable qui faisait bien des envieux. Au point de séparation de l’Atlantique Nord et Sud, en avancée face à l’Amérique Latine, sur le chemin entre l’Afrique du Sud et l’Europe, Dakar intéressait tout le monde et en premier lieu les Britanniques qui, sur le chemin traditionnel de l’Afrique australe et de l’Asie par le Cap, retrouvaient là l’un des enjeux de leurs rivalités coloniales avec la France et voulaient profiter de son écrasement.
            En septembre 1940, le Maréchal Pétain avait confié au général Weygand la délégation générale du gouvernement en Afrique et le commandement en chef des troupes. Ainsi se trouvait affirmée la volonté de défendre l’Afrique mais aussi de préparer les moyens de la revanche.
            Le 31 Août 1940, soit près de deux mois après la lâche agression commise par ces mêmes britanniques sur la flotte française au mouillage et désarmée, dans le port de Mers El-Kébir (Algérie) et près d’un mois après l’entretien Churchill – De Gaulle (6 août 1940) sur les modalités d’une éventuelle attaque contre les forces françaises stationnées au Sénégal et demeurées fidèles au Maréchal Pétain, la force navale M (M comme « Menace ») britannique où se trouvait de Gaulle quitta les ports britanniques pour Freetown en Sierra Leone qu’elle atteignit le 16 Septembre.
            Cette expédition reposait sur deux principes et deux ambitions :
- Churchill espérait mettre la main sur l’or de la Banque de France et des banques nationales belges et polonaises, représentant plus de 1000 tonnes d’or… et sur le cuirassé Richelieu, redoutable par sa puissance de feu (bien que son armement ne fût pas terminé), fleuron de la flotte française.
- De Gaulle désirait s’imposer comme le chef suprême de l’empire français en guerre… empire d’importance que le gouvernement de Vichy tenait, par ailleurs, à défendre ardemment.
Partie de Freetown le 21 septembre, la force M se présenta devant Dakar le 23 à l’aube. A 6 heures, un message de de Gaulle était adressé à la garnison en lui demandant de se rendre… sans effet. Sa seule présence qu’il espérait suffisante, ne provoqua pas à son grand dam les ralliements escomptés… le traumatisme de Mers El-Kébir était trop vif. Le gouverneur général de l'A.O.F., Pierre Boisson, commandant la Place, résolument rangé derrière Pétain, refusa catégoriquement de se rallier, affirmant sa volonté de défendre Dakar « jusqu'au bout » La décision de De Gaulle ne se fit pas attendre : Il fallait débarquer ! Une première tentative de débarquement se solda par un fiasco suivie de deux autres qui subirent le même sort. Une tentative de persuasion politique échoua et Thierry d’Argenlieu, arrivé par mer pour parlementer avec un drapeau blanc, fut accueilli par un tir de mitrailleuse qui le blessa mais son embarcation parvint à s'échapper. Il en résultait que de l’avis de De Gaulle et de l’amiral Cunningham, le patron de la flotte anglaise, la résistance allait être farouche…
            En effet, face à l’armada britannique qui se préparait au combat, la France disposait, cette fois, de solides moyens navals ainsi qu’une sérieuse défense côtière. On en n’était plus aux conditions dramatiques de Mers El-Kébir où la flotte désarmée avait été littéralement assassinée ; cette fois, les marins français étaient prêts au combat et animés, de surcroît, d’un esprit de revanche parfaitement perceptible… et compréhensible. Avant la tragédie de Mers El-Kébir, la flotte française était la 4ème plus puissante flotte du monde ; elle était décidée à le prouver et cela d’autant plus qu’elle n’avait jamais été vaincue…
            Sur cette résistance, de Gaulle écrira dans ses mémoires : « Décidément, l’affaire était manquée ! Non seulement le débarquement n’était pas possible, mais encore il suffirait de quelques coups de canons, tirés par les croiseurs de Vichy, pour envoyer par le fond toute l’expédition française libre. Je décidai de regagner le large, ce qui se fit sans nouvel incident. »
Ainsi se passa la première journée, celle du 23 septembre.
            Dans la nuit du 23 au 24 septembre, plusieurs télégrammes furent échangés entre l’amiral Cunningham et Churchill, décidé à poursuivre l’affaire jusqu’à son terme : « Que rien ne vous arrête ! » Dans cette même nuit, un ultimatum anglais fut adressé aux autorités françaises de Dakar leur enjoignant de livrer la place au général de Gaulle. Le texte était fort maladroit et accusait les forces de Dakar de vouloir livrer leurs moyens aux Allemands. Il ne pouvait que provoquer l’indignation des défenseurs et ne recevoir d’autres réponses que le refus. Le gouverneur général Boisson, répondit : « La France m’a confié Dakar. Je défendrai Dakar jusqu’au bout ! »
            Depuis la tragédie de Mers El-Kébir, Vichy avait décidé de défendre fermement cette position stratégique française et avait envoyé à cet effet, de Casablanca, des bombardiers, des chasseurs et des croiseurs. Il y avait là : Un cuirassé (Richelieu), deux croiseurs légers, quatre contre torpilleur, trois destroyers, six avisos, cinq croiseurs auxiliaires, trois cargos et trois sous-marins. Par ailleurs, la force de frappe aérienne n’était pas négligeable… et elle allait le prouver.
            Du côté anglais, la flotte était tout aussi impressionnante : Un porte avions (Ark Royal qui avait déjà opéré à Mers El-Kébir), deux cuirassés, trois croiseurs lourds, deux croiseurs légers, dix destroyers, deux dragueurs de mines et une dizaine de navires transports de troupes portant 4200 soldats –dont la fameuse 101ème brigade des Royal Marines… à laquelle s’ajoutait l’armée gaulliste composée de trois avisos, un patrouilleur, quatre cargos et 2700 soldats français.
            Toute la journée du 24 se passa en échanges de coups d’artillerie de marine entre les deux flottes qui firent de nombreuses victimes parmi les marins des deux camps et la population civile qui subit également ce pilonnage. Des obus anglais de gros calibre (380m/m) tombèrent sur la ville, touchant, entre autres, l’hôpital et la caserne du 6° RAC, faisant 27 morts et 45 blessés. En soirée, la situation n’avait guère évolué…
            Le lendemain, 25 septembre, la ténacité britannique continua. Les navires de la force M voulurent de nouveau s’approcher afin de poursuivre leur œuvre de destruction, mais, comme précédemment, ils durent se frotter aux bâtiments français (Vichystes, diront les gaullistes !) qui leur infligèrent de sérieux dégâts et cela d’autant plus que l’aviation française était maîtresse du ciel.
            C’en était trop ! De Gaulle écrira : « L’amiral Cunningham décida d’arrêter les frais. Je ne pouvais que m’en accommoder. Nous mîmes le cap sur Freetown. »
            L’armée française sortait vainqueur de la bataille en dépit de ses 203 morts et 393 blessés. Les 1927 morts de Mers-El-Kébir étaient en partie vengés.
            Cette opération constitua un tournant idéologique pour les gouvernements, bien plus qu'un affrontement important du point de vue des forces en présence, du nombre des victimes ou des pièces militaires détruites ou endommagées. L’aventure anglo-gaulliste se solda ainsi par un cuisant échec et eut des conséquences considérables.
- D’un côté, le régime de Vichy sortait renforcé de l’épreuve et la cohésion des troupes de la marine –toujours invaincue- autour de la personne du Maréchal Pétain, revigorée.
- De l’autre, le crédit du général de Gaulle dégringolait en chute libre. L’homme se retrouvait isolé. Soudainement mis à l’écart, il fut politiquement menacé par l'amiral Muselier accusé à tort d'avoir été à l'origine des fuites qui empêchèrent le débarquement. Il ne s’en cacha pas dans ses mémoires : « A Londres, une tempête de colères, à Washington, un ouragan de sarcasmes, se déchaînèrent contre moi. Pour la presse américaine et beaucoup de journaux anglais, il fut aussitôt entendu que l’échec de la tentative était imputable à de Gaulle. » … « C’est lui, répétaient les échos, qui avait inventé cette absurde aventure, trompé les Britanniques par des renseignements fantaisistes sur la situation à Dakar, exigé par donquichottisme, que la place fût attaquée alors que les renforts envoyés par Darlan rendaient tout succès impossible… »
             De son côté, Churchill, lui aussi, sortait de l’aventure en fâcheuse posture. Il dut subir les sarcasmes de la Chambre des Communes et fut à deux doigts d’être démissionné. S’il lui avait été facile de détruire, à Mers El-Kébir, une flotte désarmée (et pourtant alliée) causant la mort de 1927 marins, manifestement, avec Dakar ce fut tout autre et son désir de s’emparer de l’excellente et cohérente flotte française ou de la détruire se solda par un échec retentissant.

                                                                                              José CASTANO

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